Que se passe-t-il ?

Par rapport à la télé et aux jeux vidéo, voici ce que vous devez garder à l’esprit : plus un enfant passe du temps à un divertissement, plus le reste ne compte pas. Autrement dit, si votre enfant passe de trop longues heures devant la télé, il va finir par être convaincu que la réalité est ennuyeuse, que les autres activités ne sont pas aussi amusantes. Passer du temps sur les médias sociaux peut aussi faire du tort à votre enfant. Comment cela ? A force de regarder ce que font les autres, votre enfant va en déduire que sa vie est inintéressante, fade. Il va croire que sa vie est nulle, ce qui va le démoraliser et le vider.

S’ennuyer est-il un problème ?

En fait, ne paniquez pas dès que votre enfant s’ennuie. Il y a du bon au fait qu’il s’ennuie parce qu’il peut faire travailler son imagination. L’ennui n’est donc pas à fuir systématiquement car ce n’est pas un problème en soi. C’est plutôt l’occasion pour votre enfant de développer son sens créatif. Sinon, vous pouvez jouer avec lui dans le jardin. Vous verrez qu’un peu de soleil et de l’air frais vont faire beaucoup de bien à votre enfant. Apprenez-lui à penser aux autres, à préparer des cadeaux pour ses grands-parents, à réfléchir à ce qu’il peut faire pour aider quelqu’un, à vous aider dans les tâches ménagères, etc.

Les critères requis pour adopter un enfant

En France, toutes personnes qui sont âgées de plus de vingt-huit ans ont le droit d’adopter un enfant. Cela concerne absolument tout le monde : marié ou célibataire, hommes ou femmes. Pour les couples mariés, il faut que leur mariage ait déjà duré pendant plus de deux ans. Mais, il est aussi possible que l’un des époux adopte avec l’accord de son conjoint. Dans le cas où l’autre époux souhaite adopter l’enfant de son conjoint, il peut très bien le faire même s’il n’a pas encore vingt-huit ans. Les personnes en union libre, quant à eux, ne peuvent pas adopter ensemble. L’adoption doit se faire séparément. Il en est de même pour les personnes pacsées.

Les enfants qui peuvent être adoptés

Les enfants qui sont confiées à l’ASE ou aide sociale à l’enfance ou à des organismes autorisés pour l’adoption sont adoptables. Il y a aussi les enfants appelés « pupille de l’État ». Ce sont des enfants qui ont été abandonnées par leurs parents biologiques ou qui sont né en accouchement sous X et que l’ASE. Il y a également les enfants qui ont été retirés de leurs parents ou de leurs familles pour une ou plusieurs raisons. Lorsqu’un enfant est âgé de plus de treize ans, il est nécessaire d’avoir son consentement pour que l’adoption puisse avoir lieu.

Bons à savoir

Il est à noter que les lois relatives à l’adoption sont différentes de celles qui régissent l’adoption en France. En cas d’adoption à l’international, il est indispensable de s’informer préalablement sur la législation du pays d’origine de l’enfant à adopter pour ne pas avoir affaire à de mauvaises surprises. En effet, il se pourrait bien que la législation ne soit pas compatible avec la législation française. Les enfants originaires de la plupart des pays musulmans, par exemple, ne peuvent pas être adoptés dans le territoire français. La loi française prohibe l’adoption de ces derniers.

Les différents types d’adoption

En général, on distingue deux types d’adoption, dont l’adoption plénière et l’adoption simple. Avec une adoption plénière, un nouveau lien de filiation remplace celle qui existait déjà entre l’enfant adopté et son foyer d’origine. En revanche, avec une adoption simple, un nouveau lien de filiation est créé entre l’enfant adopté et l’adoptant, mais les liens entre l’enfant et sa famille d’origine seront conservés. Quelle que soit la forme d’adoption que vous choisissez, vous devez toujours avoir un agrément ou un permis pour pouvoir adopter un enfant, et cela, que ce soit au niveau national ou international.

Les démarches à suivre

Les démarches à suivre sont nombreuses pour adopter un enfant. Après l’obtention de l’agrément, vous devez en premier lieu aller déposer votre dossier de demande auprès du Service de l’Aide Sociale à l’Enfance dans votre département. Une fois cela effectué, vous devez faire des entretiens psychologiques, passer une visite médicale et accueillir chez vous des travailleurs sociaux. C’est pendant cette phase que vous serez avertis de tous les aspects de l’adoption, notamment des organismes agréés qui s’occupent de l’adoption près de chez vous, les particularités juridiques d’une adoption, les chiffres de l’adoption dans votre pays, etc.

Les documents à fournir pour procéder à une adoption

Divers documents vous seront demandés pour que vous puissiez adopter un enfant. Vous devez notamment fournir une copie de votre acte de naissance originale, un bulletin n° 3 de votre casier judiciaire, une copie de votre livret de famille et un certificat médical remis par un des médecins agréés par l’Aide Sociale à l’Enfance. Vous devez également montrer vos bulletins de salaire et remettre le questionnaire qui vous a été donné durant la première réunion. C’est via ce questionnaire que vous pouvez expliquer les raisons qui vous ont poussé à adopter un enfant. Après ces procédures, vous devez attendre en général environ 9 mois pour obtenir une réponse à votre demande d’adoption.

Le stress chez les moins de 2 ans

De nombreux spécialistes de la petite enfance rapportent que le stress peut arriver dès le plus jeune âge. Les victimes de ce trouble ont parfois moins de 12 mois. Selon les pédiatres, les signes deviennent plus criants à partir d’un an et demi. Restez vigilant si votre bébé se ronge les ongles plus que de raison. Un désordre au niveau de l’appétit devrait également alerter les parents. Certains petits mangent trop. D’autres font l’inverse et vomissent tout ce qu’ils avalent. Les maux de ventre peuvent s’en suivre. Puis, il y a la bougeotte. L’hyperactivité peut être un symptôme de nombreux problèmes de santé, notamment le stress. Les nourrissons qui font trop de bruits ont juste besoin d’attention. Cela peut également indiquer un mal-être ou une sorte d’angoisse. Les céphalées et les tics nerveux sont à prendre au sérieux, tout comme les phobies. Il faudra parler au pédiatre de tout geste répétitif.

L’angoisse à la maternelle

La préscolaire peut être une source de stress pour certains enfants. Il est normal de ressentir une certaine appréhension les premières journées. Toutefois, la situation peut être alarmante si le petit continue de pleurer en sortant de la maison après deux mois de cours. Ce geste peut indiquer différents problèmes. L’angoisse de devoir se séparer de la maman ou de quitter la zone de confort familial pourrait en être la cause. Plus souvent, c’est davantage la cohabitation avec les autres élèves de la classe ou bien la maîtresse qui pose problème. Certains enseignants font terriblement peur aux enfants avec leur apparence ou leurs attitudes sans s’en rendre compte. Une paire de lunettes, une grosse voix ou bien l’allure générale, les petits n’ont pas la même perception que les adultes. À l’âge de la raison, les choses s’empirent puisque les enfants commencent à avoir de la jugeote. Ils se font des opinions sur eux-mêmes, sur leurs parents et le monde. Discuter avec le pédiatre de l’enfant pourrait aider les parents à trouver des idées pour gérer la situation.

Difficultés liées aux classes primaires

Face à certaines situations, il est nécessaire de consulter un pédiatre. Si possible, les parents peuvent voir un psychologue spécialiste de la petite enfance. Cette visite est recommandée lorsqu’un élève montre des difficultés d’apprentissage. Le problème peut bien venir d’un stress profond. Parfois, il suffit d’inscrire le jeune à un cours de yoga ou à une discipline martiale. Le guide d’un coach expert en développement personnel devrait aussi être salutaire. Ce spécialiste peut aider l’enfant à moins s’angoisser sur ses performances scolaires ou sportives. S’il stresse au point de ne perdre ses moyens au moment des examens, les parents et son praticien peuvent lui apprendre des techniques sur exercices-respiration.com pour gérer le stress. Dans tous les cas, les conseils d’un praticien peuvent être utiles jusqu’au collège. Puis, il y a les problèmes chroniques qui méritent un véritable traitement. Cela arrive à ceux qui font de l’énurésie. Un enfant qui fait pipi au lit peut souffrir d’un trouble psychique profond à résoudre.

Le divorce par consentement mutuel

Depuis 2017, les couples peuvent effectuer un divorce à l’amiable sans juge à Rennes, en faisant appel à l’avocat jeanmarieberthelot.com. Les deux parties seront représentées par leurs avocats respectifs. Ces professionnels établiront un accord. Cette entente mutuelle est scellée par l’acte d’avocat. Ce document à valeur juridique fixe avant tout l’accord de principe sur le divorce. Outre le mari et la femme, leurs enfants en âge de choisir devront aussi être entendus auprès des avocats.

Les conditions pour divorcer à l’amiable

Un divorce par consentement mutuel demande l’acceptation des deux parties tant sur les conditions de la rupture que sur ses conséquences. Le couple devra se mettre d’accord sur les points qui causent souvent les mésententes. La garde des enfants, mais aussi la pension alimentaire et le partage des biens constituent les principaux sujets à mettre au clair dans l’acte d’avocat. Il peut également y avoir une prestation compensatoire si l’une des parties se sent lésée par la séparation. Le montant à verser dépendra de plusieurs paramètres et doit être convenu par les époux.

Pour réussir la procédure

Il est possible pour un couple de recourir au service d’un seul avocat. Ce dernier établira le document qu’il devra déposer au tribunal choisi par les deux parties. Au moment de contacter le cabinet, les époux doivent disposer d’une série de documents. Il faudra notamment l’acte de mariage, le contrat signé par le couple, le livret de famille ainsi que les avis d’imposition. Une déclaration sur l’honneur de celui qui doit verser la prestation compensatoire sera également exigée par la juridiction qui prendra le relais.

Qu’est-ce que la dyslexie infantile ?

La dyslexie est un trouble assez courant chez l’enfant. Elle se caractérise par la difficulté d’apprentissage, notamment pour la lecture. Les enfants atteints de ce souci ont du mal à reconnaître les mots. Ils font également beaucoup d’omission et d’amalgame. Les confusions répétitives ralentissent la vitesse de lecture considérablement. La dyslexie peut avoir plusieurs niveaux de gravité. Les formes les plus sévères peuvent impacter négativement sur les résultats scolaires. Il est tout à fait possible de résoudre un problème de dyslexie.

Prendre des mesures pour faciliter l’apprentissage

Un certain nombre de dispositions peut être pris. Cela commence par une écriture plus grande. Les élèves dyslexiques liraient mieux avec une police de taille 14 ou plus. Généralement en blanc, le papier peut aussi changer pour le beige ou le bleu pour une meilleure stimulation. L’utilisation de cache est recommandée pour aider l’élève à se concentrer sur la ligne à lire. Il existe également des logiciels spécialement conçus pour accompagner les enfants atteints de dyslexie dans la lecture. Dans tous les cas, le soutien des parents, des professeurs et de l’entourage compte beaucoup.

Faire des exercices de lecture et de compréhension

Une meilleure compréhension du contexte aiderait à faire une lecture plus fluide. Dans certains cas, il faut éveiller les connaissances de l’enfant sur le sujet avant de s’attaquer au texte. Il reconnaitra les mots plus rapidement. Les enseignants posent aussi des questions à chaque paragraphe pour que l’assimilation se fasse plus aisément. D’autres méthodes pédagogiques existent, mais il faudra travailler de concert avec l’école. Quoi qu’il en soit, il faut entretenir le goût pour la lecture quelle que soit la difficulté éprouvée.

Quel rôle occupe le père au sein de la famille ?

Le père est l’homme de la famille. Il a un rôle particulier auprès de ses enfants. Lorsqu’il est présent physiquement dans la famille, il offre à ses enfants, ainsi qu’à sa femme une sécurité émotionnelle. Le père est celui qui apprend à ses enfants le contrôle de soi. Selon les études, les enfants ayants des pères impliqués dans leur vie, ont plus de capacité à prendre plus de risques vers l’extérieur lorsqu’ils deviennent adultes. Ce qui peut par exemple les pousser à aller plus loin dans leur carrière. D’autres études montrent que l’implication du père dans la vie de l’enfant diminue aussi chez ce dernier le risque de consommation d’alcool ou de drogues.
Ainsi, quand le père est absent, l’enfant peut avoir un sentiment d’insécurité. Cela peut aussi lui donner un profond sentiment de manque, voire de honte. L’enfant peut également être jaloux de ses amis, de ses cousins ou de ses camarades de classe qui ont dans leur vie, un père actif. Grandir sans père peut ainsi être néfaste pour l’enfant. Cela peut le laisser inquiet de sa propre valeur.

Comment aider votre enfant ?

Votre ex n’a pas reconnu votre enfant à la naissance ou encore, après votre divorce, vous élevez seule votre enfant. Vous souhaitez que votre enfant ne se sente pas différent des autres. Il vous incombe de prendre le rôle du père absent afin que votre enfant ne développe pas de manque. Dites à votre enfant qu’il a ses propres qualités à lui. Permettez-lui de s’exprimer et de partager ses pensées librement. Puis rassurez-le, par exemple, en lui disant qu’il n’est pas le seul enfant à ne pas être dans cette situation et qu’il faut progresser. Faites-lui des compliments lorsqu’il fait des efforts. Et précisez la raison pour laquelle vous le complimentez. Si vous avez besoin d’aides financières, vous pouvez faire un test de paternité afin d’obliger le père biologique à vous verser des pensions alimentaires. Pour ce faire, il faut en faire la demande auprès du Tribunal. Le test de paternité en ligne proposé par les laboratoires étrangers permet d’établir l’existence ou non d’un lien de filiation entre l’enfant et le père. En revanche, cela n’a pas de valeur juridique en France. Sachez aussi qu’il existe diverses aides financières mises en place par le gouvernement pour aider les mamans solo.

Commencez par changer les habitudes

Parfois, ce sont les mauvaises habitudes des parents qui causent les difficultés à s’endormir chez l’enfant. Certains d’entre eux portent leur bébé dans leur bras jusqu’à ce qu’ils trouvent le sommeil. D’autres les prennent même dans le lit parental. Ce sont des gestes à éviter. L’enfant doit apprendre à s’endormir directement dans son berceau. Le fait de passer trop de temps avec le bébé avant son endormissement ne l’aide pas non plus. Comme pour les adultes, la chambre d’un enfant doit être suffisamment sombre. La présence d’une télévision allumée ou d’autres voyants électronique n’est pas recommandée.

Appliquez la règle des 5-10-15

Si le bébé ne s’endort pas tout seul ou se réveille en pleine nuit, les médecins recommandent la technique des 5-10-15. Il faut attendre 5 minutes avant de se lever. Peut-être qu’il finira par s’endormir tout seul. Si le bébé pleure toujours au bout de ce délai, il faudrait venir lui rassurer. L’essentiel serait de lui expliquer que c’est la nuit. Le bébé a également besoin d’être rassuré que tout se passe bien dans la maison, mais il est juste temps de se reposer. Ce discours ne durera pas plus de dix minutes. Il est à répéter une seule fois au bout d’un quart d’heure. Le bébé finira par ressentir la détermination des parents et se résilier à dormir.
Les remèdes de grands-mères peuvent également être essayés. Une petite séance de massage du corps ou un bain chaud prix en fin de journée pourrait aider. Ajoutée au biberon, la fleur d’oranger a des vertus apaisantes.

Recourir aux médicaments

Le virus varicelle-zona (VZV) est le vecteur de la varicelle. Étant une maladie virale, il n’a pas à proprement parler de médicaments curatifs. La varicelle se guérit automatiquement au bout de 3 semaines. Seuls le temps et le repos sont donc les remèdes efficaces. Toutefois, il est toujours possible de s’attaquer aux symptômes irritables pour aider votre enfant avant la guérison. Pour faire baisser la fièvre, donnez-le du paracétamol. L’aspirine est à bannir en cas de varicelle, car peut provoquer le Syndrome de Reye, une autre maladie, fatale. Quant aux sensations qui grattent, l’usage d’analgésique ou d’antihistaminique sera d’une grande aide. L’utilisation de l’antibiotique n’est pas quant à lui indispensable. Il est utilisé uniquement en cas de surinfection.

Recourir aux méthodes naturelles

Mise à part la prise de médicament, de simples gestes au quotidien peuvent aider. Chers parents, veuillez à ce que la température de la chambre de votre enfant reste entre 18 et 20 °C pour prévenir la montée de la fièvre. Ses vêtements doivent aussi être larges et de préférence en coton. Cela évite les frictions pouvant entrainer des lésions. Si de telles lésions existent déjà, appliquez de la glace ou une compresse d’eau froide pour les atténuer. N’oubliez pas de faire prendre une douche tiède à votre enfant au moins deux fois par jour. Séchez-le correctement en évitant de le frictionner. N’oubliez pas non plus de lui donner régulièrement de l’eau pour éviter qu’il ne se déshydrate.

Les gestes à retenir

L’hygiène est très importante en cas de varicelle pour éviter des complications pour lésion. Il est primordial de veiller à la propreté des mains de l’enfant, mais aussi de couper et de limer correctement ses ongles pour éviter qu’il ne se gratte et se blesse avec ses propres moyens. Pour les tout-petits, il est d’usage d’utiliser des moufles. Par contre, l’utilisation de poudre comme le talc ou pommade sont à proscrire, car ils risquent de favoriser les infections. Il faut aussi éviter toute exposition directe au soleil. Évitez par la même occasion les vêtements en tissus synthétiques ou autres tissus rugueux ainsi que la laine.